Gustav LEONHARDT

Gustav Leonhardt a toujours aimé cuisiner pour sa famille et ses amis. Le goût de la compétition lui est venu assez tôt, en étant tout simplement au contact de passionnés et non des moindres… A l’âge de 16 ans, il fait la vaisselle pour Tommy Myllymäki, un début amusant qui le plonge dans un univers qu’il ne quittera plus. Lors des sélections européennes du Bocuse d’Or dans sa ville natale de Stockholm en 2014, il a l’occasion de servir les plats aux membres du jury. Et là c’est le déclic : un jour il sera candidat au plus grand des concours.

Gustav met alors en place une stratégie claire pour acquérir l’expérience nécessaire et enchaîne les concours. 2021 le voit gagner le concours de « Chef de l’Année ». La finale lyonnaise de 2025 sera son quatorzième concours.

Parallèlement il peaufine sa technique et sa créativité en travaillant dans divers restaurants, entre autres Agrikultur et Aira où il s’implique beaucoup dans le département Recherche et Développement.

Aujourd’hui il travaille via sa société de prestations www.gustavleonhardt.se mais rêve bien sûr d’ouvrir un jour son propre restaurant.

Lorsqu’il ne travaille pas, la cuisine n’est jamais loin car il a une passion pour la chasse où il emmène son chien Arras.

Son père ébéniste lui a aussi transmis le goût de fabriquer des meubles en bois ; entre autres une belle table sur laquelle nul doute que ses plats font bel effet.

Bocuse Bronze

Les plats du podium

Kombu confit, céleri-rave et verveine citronnée. Maigre et homard « lacqués » à l’huile de varech. Sabayon de homard au gingembre et feuilles de citronnier. Salade de céleri aux légumes du jardin et coriandre.

Selle de chevreuil farcie et rôtie aux morilles. Filets mignons en croûte de poivre. Tourte ouverte de chevreuil à l’épaule braisée, foie gras poêlé, chou de Savoie et trompette de la mort. Pomme suédoise fumée et groseille. Sauce au poivre vert et foie gras. Consommé de chevreuil parfumé au thé Oolong, ravioli aux cèpes et récolte d’hiver.

Sur le même podium

en 2025